Mal au dos
Toutes les douleurs de dos sont problématiques mais les protocoles de rééducation donnent généralement de bons résultats.
Si l’origine est traumatique, suite à un accident, j’ai besoin de voir vos radiographies et comptes-rendus médicaux dès le début de la prise en charge.
Le bilan réalisé lors de la première séance permet de comprendre l’origine de la douleur et de choisir le bon traitement. Nous pouvons alors décider ensemble du nombre de séances nécessaires.
Dans le cadre des douleurs de dos engendrées par des mauvaises positions ou des gestes brusques, la technique McKenzie est très efficace.
La rééducation prend également une grande place dans le traitement des scolioses. Après une analyse posturologique complète, un protocole personnalisé est mis en place.
Pour les rhumatismes, la kinésithérapie soulage les douleurs accompagnant le phénomène d’arthrose et permet une amélioration du confort. La prise en charge par un médecin rhumatologue est également nécessaire.
Rééducation des membres
Après une entorse, une fracture, une opération ou pour des rhumatismes ou des tensions musculaires, la rééducation est indispensable. Sur les membres supérieurs (main, coude, bras, épaule) ou inférieurs (pied, genou, hanche), des protocoles adaptés permettent le traitement de nombreuses pathologies.
Pour toute prise en charge traumatique des membres (accident), j’ai besoin d’un maximum d’informations médicales et de voir les radiographies si possible.
Les contractures et les tendinites sont fortement améliorées grâce à la kinésithérapie. Après un bilan complet, nous mettons en place un protocole individualisé comprenant de multiples techniques (taping, ultrasons, massage, ventouses, crochetage, étirements, …).
Pour les sportifs professionnels ou amateurs, il est fortement déconseillé de continuer l’entrainement avec un membre douloureux.
Le suivi en kinésithérapie de l’arthrose permet un soulagement temporaire de l’articulation douloureuse. L’accompagnement complémentaire par un rhumatologue est nécessaire.
Kinésithérapie pédiatrique
La kinésithérapie de l’enfant est composée de plusieurs spécialités.
Le nourrisson a parfois besoin de kinésithérapie respiratoire, lorsqu’il subit un encombrement bronchique.
Dans l’enfance, certains troubles de la motricité ou de la parole peuvent apparaître. Le travail en rééducation des réflexes archaïques du nourrisson accompagnent le développement neuro-moteur de l’enfant. Ces réflexes peuvent même être travaillés à l’âge adulte si des troubles sont toujours présents.
Ce travail améliore la posture, la motricité globale, la fatigue générale, la facilité de concentration, …
Cette rééducation est également pratiquée avec les enfants handicapés.
Avec la croissance, l’enfant développe parfois une scoliose qui entraine une déformation du dos et des douleurs importantes à l’âge adulte. La kinésithérapie améliore fortement ces déviations.
Rééducation des pathologies neurologiques
La prise en charge kinésithérapique en neurologie est indispensable.
Il s’agit généralement d’une rééducation longue, qui vise à ce que les séquelles de la pathologie n’entrainent pas un handicap trop lourd pour le patient.
Dans le cadre d’un AVC, l’objectif est d’améliorer la mobilité des membres raides. Le patient travaille alors la force, la stabilité et améliore ses gestes quotidiens.
La prise en charge de la poliomyélite donne un confort de vie global au patient. La mobilisation manuelle des articulations et l’étirement des muscles restaure un confort des membres atteints.
Les symptômes de la fibromyalgie sont améliorés grâce à un protocole individualisé. En alliant les étirements, le renforcement doux, le massage si des zones deviennent très douloureuses et la médecine chinoise, la majorité des patients retrouvent un confort de vie. Les douleurs sont anticipés, le corps garde une bonne mobilité et les dysharmonies énergétiques sont régulées.
Il existe de nombreuses autres pathologies soulagées par la kinésithérapie.
Rééducation des amputés
Après un accident ou une maladie, la rééducation des patients amputés est essentielle.
La personne atteinte physiquement doit réapprendre à utiliser ce nouveau corps.
La cicatrice d’amputation peut être douloureuse et doit être travaillée pendant plusieurs semaines.
Grâce à ces soins, le patient est moins douloureux et l’adaptation du moignon à la prothèse est facilité.
Après cela, le protocole individualisé aux besoins personnels permet de travailler sur la force, la stabilité et la dextérité du membre atteint.
La vie quotidienne est facilitée et le patient envisage un nouvel avenir.
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